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4 avril 2010 7 04 /04 /avril /2010 15:58


Lors de la Rencontre annuelle des Réseaux du Parvis, à Saint Chamond, les 30 novembre, 1 et 2 décembre 2012 :


Entretien avec Elfriede Harth  :

 

Am 1. Juni 1949 wurde ich in Bogota, Kolumbien, geboren. Mein Vater war 1933 als Wirtschaftsasylant (den Begriff gab es damals natürlich noch nicht) aus Deutschland erst nach Spanien und dann nach Südamerika ausgewandert und hatte in Kolumbien meine Mutter, eine Frau aus einer Großgrundbesitzerfamilie, geheiratet.
Nach dem Besuch der Deutschen Schule von Bogota kam ich mit zehn Jahren ins Internat zu den Ursulinen in Königstein im Taunus, wo ich bis zum Abitur 1968 blieb. Noch minderjährig (damals erreichte man die Volljährigkeit erst mit 21 Jahren),  lehnte ich mich gegen den Beschluss meines Vaters auf, mich um die Erziehung meiner fünf jüngeren Geschwister in München zu kümmern und lief von zuhause weg nach Paris. Von meinen Eltern vor die Alternative gestellt, mit Polizeigewalt wieder nach Hause zurückgeholt zu werden oder den Mann zu heiraten, mit dem ich von zuhause geflohen war, wählte ich die Ehe.
Studium der Hispanistik (Magister) an der Sorbonne Nouvelle (Paris III) und des Diplomstudiengangs am Institut d’Etudes Politiques de Paris. D.E.A.-Studiengang in Soziologie in der Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales in Paris. Für einige Monate Referentin für internationale Kommunikation im Verband der Volksbanken in Paris und etwas länger Dokumentalistin am Centre de Documentation Contemporaine der Fondation Nationale des Sciences Politiques.
Neun Jahre Referentin für Europa für eine US amerikanische Nichtregierungsorganisation auf dem Gebiet der Anwaltschaft für Sexual und Reproduktionsrechte.  Die meiste Zeit jedoch Hausfrau mit fünf Kindern und inzwischen acht Enkelkindern, Betreuung meiner Mutter während ihrer letzten vier Lebensjahre. Engagement in der Kirchenreformbewegung. Seit Anfang 2012 lebe ich in Frankfurt am Main.

 

Traduction Google :

 

 Le 1 er Juin 1949 Je suis née à Bogota, Colombie. Mon père était en 1933 en tant que demandeur d'asile économie (c'était le terme n'a pas été fournie, bien sûr) a émigré de l'Allemagne, après l'Espagne et l'Amérique du Sud, en Colombie et avait épousé ma mère, une femme issue d'une famille propriétaire.
Après la visite de l'école allemande de Bogota j'avais dix ans dans un pensionnat aux Sœurs Ursulines à Königstein, où je suis resté jusqu'à 1968e graduation Mineur (alors qu'ils ont atteint l'âge de la majorité avant l'âge de 21 ans), je me suis penché contre la décision de mon père, de prendre soin de l'éducation de mes cinq frères et sœurs à Munich et se sont enfuis de chez eux à Paris. Question de mes parents avec le choix d'être à la violence policière ramené à la maison ou d'épouser l'homme avec qui j'avais couru loin de la maison, j'ai choisi le mariage.
Étude d'études hispaniques (MA) à la Sorbonne Nouvelle (Paris III) et le programme de diplôme à l'Institut d'Etudes Politiques de Paris. DEA de troisième cycle en sociologie à l'École des Hautes Études en Sciences Sociales à Paris. Depuis plusieurs mois, le secrétaire de l'International Communication Association Banques populaires à Paris et un bibliothécaire peu plus de temps à l'Contemporaine Centre de Documentation de la Fondation Nationale des Sciences Politiques.
. Exécutif pour l'Europe pendant neuf ans États-Unis une base de l'organisation non gouvernementale dans le domaine de la défense des droits sexuels et reproductifs La plupart du temps, cependant, une femme au foyer avec cinq enfants et huit petits-enfants maintenant, les soins de ma mère pendant leurs quatre dernières années de sa vie. Engagement dans le mouvement de réforme Eglise. Depuis début 2012, j'ai vécu à Francfort.

 

 

 

 

 ElfriedeHarth-thumb-200x200-12387.jpg

 


Elfriede Harth interview  :

 

 

 

 

 

 

 

La question des femmes 50 ans après le Concile Vatican II

 


Conference

 

 

 

 

 

 

 

 

 

El tema de las mujeres de 50 años después del Concilio Vaticano II

 

 

 

 

 


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Octobre 2009,


Les associations de la Coalition Publiez Ce Que Vous Payez – France, se retrouvent à Paris, au Secours Catholique, rue du Bac, avec Marou Amadou et Ali Idrissa, tous deux membres de la coalition PCQVP – Niger.

Marou a été arrêté et incarcéré le 10 août pour les positions qu'il avait prises en tant que Président du Fusad sur le coup d'état constitutionnel. Il a été mis en liberté provisoire après cinq semaines d'incarcération et vient quelques jours en France et en Belgique. C'est l'opportunité pour nous de rencontrer ces deux militants.


Je suis allé à cette rencontre avec camescope et appareil photo. Mais en les entendant et en comprenant ce qui se passe au Niger, je me dis : « Vaut mieux ne pas sortir mes appareils. Mettre Marou et Ali sur internet, c’est les exposer un peu plus ».

Je leur pose tout de même la question :

- « Il vaut mieux éviter les photos et les interviews sur internet ? ».

Mais, surprise :

« Non, au contraire. Vous pouvez filmer, faire connaitre notre combat. Nous voulons vivre. Nous n’avons pas peur. Nous voulons une meilleure répartition des richesses, nous voulons un peu plus de démocratie. Pourquoi avoir peur ? Nous ne pouvons pas vivre dans la peur. Soutenez nous. »


Gérard Warenghem

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